Il est mort celui qui grésille et s’enflamme ; il s’est éteint sous pierre.
Ses battements se sont fondus au vent naufragé.
Il fait froid ; ce qu’il vécut s’est muré au diable.
Il est mort celui qui décolle et s’envole ; il s’est échoué sous ciel.
Ses tirs d’ailes se sont dissous au sol.
Il fait lourd ; ce qu’il endura s’est étouffé chez dieu.
Il est venu le temps du cœur en poussière.
À CŒUR FOURBU #3