Arriaga sinon rien
J’ai découvert l’œuvre de Guillermo Arriaga au début des années 2000, alors que j’étais salariée des éditions Phébus où il a notamment fait paraître Un… Lire la suite »Arriaga sinon rien
J’ai découvert l’œuvre de Guillermo Arriaga au début des années 2000, alors que j’étais salariée des éditions Phébus où il a notamment fait paraître Un… Lire la suite »Arriaga sinon rien
Un « désir » ; une « jouissance ». Le premier est du genre masculin ; la seconde prend la marque du féminin. Ce qui précède l’acte sexuel – ou d’amour… Lire la suite »Femmes écrites par elles-mêmes
À chacun son lac intérieur et sans doute à chacun ses monstres, plus ou moins visibles, tapis là tout au fond et/ou effrontément sujets aux… Lire la suite »Par les sentiers d’Ingeborg Bachmann
Mieux vaut tard que jamais, dit le proverbe – et j’ajoute que parfois, mieux vaut tard que trop tôt, car le suc de certaines œuvres… Lire la suite »Ce monde a besoin de Calaferte
Le vendredi 28 mars 1941, Leonard Woolf passe « un long moment dans le jardin », pensant son épouse à la maison. Ces derniers temps, comme tout… Lire la suite »Vivre avec Virginia Woolf
Certains livres sont des lieux de coïncidences singulières. J’entends par là qu’ils produisent une sorte de trait d’union simultané entre ce qui se déroule en… Lire la suite »Chiarello – Delorme : écrire à bras-le-cœur